Extrait :
Rêverie d’Avalon
Adossée aux pierres dressées,
Je laissais mon esprit et mes rêves s’élever,
Un lutin à l’oreille m’a murmuré,
Que les dieux changeaient la Destinée.
Dans cette vision brumeuse étrange,
Celtes, Grecs et Germains se mélangent,
Danse des géants de pierre,
Devant le soleil et les dieux lunaires.
Neuf femmes drapées de blanc,
Aux bras et chevilles des anneaux d’argent,
Avalon connaît les balbutiements,
D’une renaissance dans le firmament.
Elles nous libèrent de toutes nos entraves,
Délient les chaînes qui nous gardent esclaves,
Les anciens rites reprennent leur place,
De nos cœurs endormis brisent la glace.
Lentement mes yeux s’éveillent,
À travers mes cils percent les rayons du soleil,
Et mon cœur exalté par cette douce vision,
Aspire à te suivre, Prêtresse d’Avalon.
Mon avis :
Une très belle plume pour de magnifiques poèmes, voilà mon ressenti.
J’ai aimé ces poèmes, car ils m’ont tous emportée vers d’autres rivages et j’ai pu rêver.
Des poèmes tout en douceur pour des sujets pas forcément simples, mais à lire absolument.
Je ne m’étendrais pas, car je veux vous laisser les savourer comme j’ai pu le faire.
Passion est sans contestation mon préféré...
Penny Watson Webb a une très belle plume pour cet exercice de style, allez vite le découvrir...
En vente par là :
http://vfbeditions.com/arianrhod__le_coeur_d_une_femme_paienne__1103.htm
Rêverie d’Avalon
Adossée aux pierres dressées,
Je laissais mon esprit et mes rêves s’élever,
Un lutin à l’oreille m’a murmuré,
Que les dieux changeaient la Destinée.
Dans cette vision brumeuse étrange,
Celtes, Grecs et Germains se mélangent,
Danse des géants de pierre,
Devant le soleil et les dieux lunaires.
Neuf femmes drapées de blanc,
Aux bras et chevilles des anneaux d’argent,
Avalon connaît les balbutiements,
D’une renaissance dans le firmament.
Elles nous libèrent de toutes nos entraves,
Délient les chaînes qui nous gardent esclaves,
Les anciens rites reprennent leur place,
De nos cœurs endormis brisent la glace.
Lentement mes yeux s’éveillent,
À travers mes cils percent les rayons du soleil,
Et mon cœur exalté par cette douce vision,
Aspire à te suivre, Prêtresse d’Avalon.
Mon avis :
Une très belle plume pour de magnifiques poèmes, voilà mon ressenti.
J’ai aimé ces poèmes, car ils m’ont tous emportée vers d’autres rivages et j’ai pu rêver.
Des poèmes tout en douceur pour des sujets pas forcément simples, mais à lire absolument.
Je ne m’étendrais pas, car je veux vous laisser les savourer comme j’ai pu le faire.
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