Résumé :

Le récit d’un amour au-delà des genres…

Si Julian pouvait changer un instant de son passé, ce serait ce jour-là. Ce fameux soir où, ayant encore oublié ses clés, il attendait bêtement devant la porte de leur appartement ; où Marcus, comme toujours, est arrivé en sauveur pour lui ouvrir. Ce terrible soir où il a perdu son meilleur ami.

Alors, s’il pouvait changer le passé, Julian choisirait d’accepter les mots d’amour que lui offre Marcus. Il s’obligerait à repousser ses préjugés, sa colère et ses doutes pour serrer son ami dans ses bras et laisser parler son cœur.

Six années se sont déjà écoulées… Julian est devenu une star internationale. Mais il lui manque l’essentiel ; une part de son âme, une part de son être : Marcus. Cette part manquante, Julian a décidé de la reconquérir, coûte que coûte. Dès demain, il partira pour retrouver Marcus…

Mon avis :

Une romance M/M très forte et forte émouvante. Rien d’érotique que du sensuel !!
Marcus met son cœur entre les mains de Julian et celui-ci ne trouve rien de mieux que de le piétiner.
Alors Marcus prend ses jambes à son coup et disparaît !
Julian au sommet de sa gloire s’aperçoit 6 ans après qu’il lui manque quelqu’un, qui n’est autre que Julian.
Il part donc à sa recherche et espère faire entendre raison et mettre les choses à plat avec son ami.
On se retrouve un peu dans les histoires de Noël à la télévision, mais je préfère définitivement les livres !!
Même si l’histoire est cousue de fil blanc, j’ai adoré voir comment Julian allait faire pour faire plier Marcus.
J’aurai été d’ailleurs à la place de celui-ci je lui en aurais fait baver, mais après tout n’ont ils pas assez souffert au final ?
Une jolie romance bien écrite qui nous donne des indices sur le passé des protagonistes en nous partageant leurs pensées.
Une auteure que j’aurai plaisir à redécouvrir par ses prochains écrits !!

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​Pas sans toi
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Résumé :

Pour les délivrer du mâle, la chauve-souris de Camargue a décidé d’ôter la vie de ses victimes…
Existe-t-il une chance de rémission pour les folies d’un cœur brisé ?

Max sourit à chaque fois qu’elle entend le surnom ridicule qu’on lui a donné ; la « chauve-souris de Camargue » – pas très effrayant pour un serial-killer.
En plus, ils pensent qu’elle est un homme. Les crétins… Comme s’ils étaient incapables de concevoir qu’une femme puisse tuer. Car c’est ce qu’elle fait : elle tue. Ou plutôt, elle purifie le monde ; ses proies ne sont pas n’importe qui. Des femmes. Des femmes qui aiment les femmes et n’osent pas assumer leur différence. Voilà ce qu’elle est, voilà ce qu’elle fait.
Du moins, jusqu’à ce que l’arrivée de Rachel dans sa vie vienne perturber sa chasse. Rachel est douce, Rachel est belle, Rachel l’aiderait presque à oublier ces pulsions meurtrières qui la hantent régulièrement.
À un détail près : Rachel a juré de retrouver le serial-killer qui a sauvagement assassiné sa compagne…

Mon avis :
Un thriller un peu hors-norme puisque dès le début on connaît le nom du meurtrier ou plutôt de la meurtrière !!
Une criminelle un peu hors du commun puisqu’elle ne tue que des lesbiennes qui n’assument pas leurs statuts d’homosexuelles !
Malheureusement Rachel a une compagne qui ne s’assume pas et qui est tuée par « la chauve-souris de Camargue » qui n’est autre Max. C’est une jeune femme qui cherche à aller de l’avant et pour cela va mener l’enquête. Eh oui, car la police peine à mettre le tueur en déroute. Elle donne mission alors pour découvrir qui a tué sa compagne.
Max est une tueuse en série qui veut nettoyer le monde de personnes « lâches » qui ne s’assument pas ! Cette jeune femme insensible va nous apparaître différemment au contact de Rachel, mais où cela va-t-il les mener ?
Tout au long on va découvrir l’histoire du point de vue de Rachel ou de Max et ça donne de la profondeur au texte, on voit les choses différemment.
Les deux personnages vont se rencontrer sans se douter de quoi que soit, mais il y aura un moment ou la vérité devra être dite ! Comment Rachel prendra la chose ?
J’ai beaucoup apprécié l’écriture de cette nouvelle auteure pour ma part.
Le suspens va crescendo et c’est également un des points forts de ce roman.

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Punies soient les lâches

Résumé :

Sous la menace d’un mariage forcé, Moira fuit loin du château de son frère, le chef du clan MacDonald. Si elle parvient à rejoindre sa mère sur l’île de Skye, peut-être pourra-t-elle échapper au sinistre destin qu’on a tracé pour elle. Mais ses espoirs d’atteindre l’île seraient peu de chose sans l’aide de Kieran, un mystérieux Highlander rencontré en chemin. Au côté de ce guide fort et débrouillard, Moira ne redoute plus les dangers de la route. Du moins, tant qu’elle ne révèle pas sa véritable identité... Car elle découvre ‒ trop tard ‒ que Kieran est un MacLeod, un ennemi juré de son clan. Et qu’il n’a qu’une idée en tête : se venger des MacDonald, qui ont assassiné les siens...

Mon avis :

Vous aimez les Highlanders alors ce texte est pour vous. En effet, ils sont bien présents dans ce roman, mais ne vous attendez pas à des kilts, vous seriez déçues.
Kieran est un highlander certes, mais avec certaines valeurs. En effet, s’il la vengeance dans le sang, il a une moralité à toute épreuve malgré son statut de brigand.
D’un autre côté nous avons Moira, un petit bout de femme qui a le sens de la répartie, un peu sauvageonne et ne s’en laisse pas compter. Elle lui accorde sa confiance dès le départ, mais un peu trop vite et du coup elle s’aperçoit de son erreur. En effet, Kieran a pour ennemi juré le clan des MacDonald. Mais le destin nous réserve souvent bien de surprise.
À eux deux, ils vont devoir affronter bien des situations et un lien va se créer entre eux, ce qui rends encore plus difficile à Moira d’annoncer son « nom » à Kieran...
Avec la plume d’Anna Lyra, vous allez être embarqué au pays des Highlands et une romance très sensuelle, mais néanmoins avec de l’action. On sent son travail de recherches. Et on a même une note en fin de livre pour nous expliquer ses choix et ses libertés d’écriture.
Comme pour ses précédents titres, je me suis vite attachée à ces deux personnages qui vont devoir déjouer bien des complots.


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La vengeance du Highlander

Résumé :

Oublier. Oublier sa rupture avec Matthew, oublier que sa famille l’a rejeté, en se lançant à corps perdu dans ses recherches, voilà le plan de Lucien lorsqu’il revient à Oxford pour rédiger sa thèse. Mais sa rencontre avec Andrew Knight, pop star d’un groupe mondialement connu, vient bientôt bouleverser son programme. Pourtant, ils n’ont quasiment rien en commun : universitaire gay passionné de musique classique d’un côté, chanteur rock et hétéro de l’autre. Rien… à part ce petit truc, ce feeling qui fait qu’ils se comprennent immédiatement et ne peuvent s’empêcher de passer du temps ensemble… 

Mon avis :
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Un nouvel auteur, un nouvel univers et une nouvelle histoire M/M.
Une plume aussi tendre que tranchante avec beaucoup de description. À tel point que j’avais l’impression de partager le quotidien de nos personnages.
On découvre petit à petit Lucien et son passé. On découvre Andrew en même temps que Lucien. On appréhende encore plus la rencontre, l’histoire naissance entre eux. Et c’est ce qui nous donne l’impression de vivre au milieu des personnages.
De même l’histoire est riche de personnages avec les deux principaux, mais également des personnages secondaires qui sont très bien mis en valeur. Ces derniers ne sont pas en reste d’ailleurs pour alimenter l’histoire. On se rend compte à la fin que nous n’avons ici qu’un prélude et qu’il y aura certainement une suite.
J’attends d’ailleurs de voir ce que va donner la suite avec nos deux protagonistes.
Indéniablement Enzo Daumier sait envoûter son lecteur pour le transporter au milieu de son histoire, à un point qu’on ne lâche l’affaire qu’une fois la dernière page tournée...

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Tendres baisers d'Oxford

Résumé :

Pourquoi a-t-il fallu qu’il se retrouve pile ce jour-là, à cette heure, dans ce wagon, à cette place ? Octavien n’avait jamais imaginé revoir Nathanaël Delforge, le professeur de français qu’il a traumatisé par son attitude rebelle quelques années plus tôt. Mais il faut croire que le destin a le sens de l’humour, car il se retrouve assis juste à côté de lui dans le train qui le ramène à Lyon pour le week-end. Pourtant, une fois la gêne dissipée et les politesses d’usage expédiées, Octavien découvre avec surprise que celui qui était autrefois un jeune professeur inexpérimenté et manquant d’autorité a bien changé. Les sujets de conversation et les heures défilent sans qu’il s’en aperçoive et, quand le train s’approche du terminus, une pointe de regret le taraude. Et s’il proposait à Nathanaël de le revoir ?

Mon avis :
Une nouvelle assez courte avec ses 40 pages, mais un condensé d’émotions.
Malheureusement on y retrouve une homophobie qui a la vie dure dans notre société, mais malgré cela on retrouve de l’espoir avec une belle histoire ou l’on s’aperçoit que rien n’est impossible quand on le veut.
Tout part de ces « retrouvailles » dans un train, ou quand le destin nous joue de jolis tours. Une rencontre qui a eu lieu quelques années auparavant et un trajet qui « met » à l’aise. Et voilà nos deux jeunes hommes partis à converser de choses et d’autres jusqu’à leur arrivée survenue bien trop tôt.
Le hasard toujours lui, les remettra sur le même chemin au coin d’une séance de dédicaces. De fil en aiguille ils se reverront et une belle amitié en découlera. Mais ne serait-ce pas plutôt de l’amour qui naît entre ces deux-là ?
Leur maladresse les rend attachants et nous permet de nous y attacher encore un peu plus...
Mon seul regret, la page de fin est arrivée bien trop tôt !
Une auteure à découvrir absolument.
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L'amour sur le siège d'à côté

_Résumé :

Coup de foudre, une nouvelle est la lettre de pardon fictive écrite par le président d’un établissement de prêt transnational, accusé d’avoir violé la femme de chambre d'un hôtel new-yorkais. Elle raconte l’histoire d’un homme qui a réussi, intelligent, puissant, acteur incontournable de la politique et de la finance internationales ; un homme qui s'apprêtait à rencontrer l’une des femmes les plus influentes du monde, Angela Merkel, pour régler la crise de la dette européenne, et qui parallèlement, allait s'en prendre à l’une des femmes les moins influentes du monde, une immigrée en situation irrégulière, une employée subalterne. C’est l’histoire d’un homme qui aurait pu être candidat aux présidentielles françaises, qui se sentait invincible et qui a découvert qu’il ne l'était pas.

Publiée d'abord dans le Harper’s Magazine puis inclus dans un recueil de nouvelles intitulé Coup de Foudre, A Novella and Stories, cette traduction est la première à voir le jour en français.

Mon avis :

Le titre m’intriguait et le résumé encore plus...
Je ressors de cette lecture avec un sourire aux lèvres. En effet, cela correspond exactement à ce que j’imaginais en mieux !
On est bien loin de la pudibonderie américaine et Ken Kalfus parle assez crûment, mais sans tabou afin de nous plonger dans une nouvelle au goût de déjà vue !
Déjà parce que cela rappelle énormément DSK et le Sofitel ! On y découvre le point de vue de cet homme qui n’a jamais caché être libertin, mais que d’un coup on cloue au pilori.
C’est un agréable moment que l’on passe avec ce titre. Et le fait qu’il soit court nous donne juste les infos qu’il faut sans pour autant tomber dans le dramaturge ou le voyeurisme.
Une belle écriture complète l’ensemble afin de nous embarquer avec les protagonistes. À lire ! ​

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Coup de foudre 

Résumé :

Le père est là, dehors, quelque part. La cage est désormais aussi vaste que le monde, mais Dante est toujours son prisonnier. 
Non loin de Rome, un homme affolé tente d'arrêter les voitures. Son fils de huit ans a disparu et le corps de sa femme gît, décapité, au fond d'une clairière.
Le commissaire Colomba Caselli ne croit pas à l'hypothèse du drame familial et fait appel à un expert en disparitions de personnes : Dante Torre. Kidnappé enfant, il a grandi enfermé dans un silo à grains avant de parvenir à s'échapper. Pendant des années, son seul contact avec l'extérieur a été son mystérieux geôlier, qu'il appelle « le Père ».
Colomba va confronter Dante à son pire cauchemar : dans cette affaire, il reconnaît la signature de ce Père jamais identifié, jamais arrêté...

Mon avis :

Plus de 600 pages d’un bon thriller. Plus de 600 pages où vous ne vous douterez pas de la fin...
Un thriller qui nous tient en haleine du début jusqu’à la fin.
Un pique-nique familial qui finit en cauchemar, et bien sûr il ne reste que le père. Il est évident que les policiers le croient de suite coupable. Mais cela est bien trop évident, mais qui peut être l’auteur alors ?
Une enquête officielle qui charge le père et une autre en parallèle qui essaye de trouver le vrai coupable.
Une enquête non officielle qui est menée par deux drôles de compères bien abîmés par la vie. On s’attache très vite à ses deux personnages d’ailleurs, car ils en sont encore plus attachants.
Au-delà de l’intrigue, ce sont la relation, les failles et encore les aventures de nos deux principaux protagonistes qui m’ont le plus captivée !!
​Je vous invite à vous faire votre propre opinion, mais je pense sincèrement que c’est un livre qui vaut le détour !!



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Tu tueras le Père