Résumé :
Quand Lorenza Beaumont, reporter de guerre, rencontre Grégory Nashoba, homme d’affaires et expert mondial en Canis Lupus, elle ne se doute pas que sa vie va basculer. Elle découvre la personnalité fascinante de Grégory, dernier descendant d’une puissante lignée amérindienne, au cœur d’une mystérieuse légende.
Un attentat à la bombe décime la famille de Greg et le blesse très grièvement. À sa sortie de l’hôpital, il n’aura qu’une obsession, retrouver les responsables de ce drame.
La journaliste restera à ses côtés et, de Paris en Afghanistan, des hauts plateaux éthiopiens jusqu’aux États-Unis, ils vont traquer ensemble les meurtriers, aidés par leur ami Pierre Bonnefeu, divisionnaire de Police. Entre trafic d’armes et de stupéfiants, mettant leur vie en jeu face à des tueurs avides et sanguinaires, ils affronteront le pire de l’âme humaine.
Les assassins n’auraient jamais dû s’en prendre à la famille de Grégory, car ils ont réveillé le Gardien de la Terre des Loups, un fauve qui ne connaît ni pitié, ni pardon.
Mon avis :
J’ai eu la chance de lire ce titre pour la deuxième fois. Il est paru auparavant sous le titre « Il ne fallait pas faire pleurer le loup » et dont j’avais donné mon avis ici.
Le décor est planté dès le début avec notre héroïne au fort tempérament. Elle ne se laisse pas marcher sur les pieds et va toujours au bout de ce qu’elle entreprend. Jusqu’à sa rencontre avec notre héros, Lorenza fait passer sa carrière avant tout. Mais les choses sont faites pour être changé et Lorenza va l’apprendre, mais à quel prix.
Gregory, homme aussi mystérieux que charmant va faire découvrir bien des facettes de sa personnalité à Lorenza, mais une chose est sûr c’est un homme droit dans ses bottes et un Pawnee dans toutes ses fibres. Un homme auquel on ne doit pas prendre sa famille et ceux qu’il aime sinon garde aux foudres que l’on pourrait s’attirer.
Comme d’habitude, nous avons des personnages hauts en couleur et les « rôles » secondaires ne sont pas en reste. Il y a bien sûr Pierre Bonnefeu, mais aussi Serge, Aya, et la fille de Grégory.
Comme d’habitude, nous sommes embarqués au plus profonds des territoires.
Comme d’habitude, nous voyons du pays avec un livre de Gilles Mil-Vacéri.
Comme d’habitude, je me suis laissé emporter par ce récit.
Mais contrairement à d’habitude et surtout avec ce titre que j’ai lu en deux versions, on sent la maturité de l’écriture. Je l’avais déjà senti dans « les moissons perdues », mais je voulais une confirmation avant d’en parler. Ici on a une écriture beaucoup plus aboutie, des sentiments encore plus exacerbés, des situations plus approfondies et surtout un remaniement complet de ce texte même si le fond reste le même.
Vous l’aurez compris j’ai été conquise par ce nouveau roman, d’autant plus que j’ai toujours aimé les westerns, mais contrairement à beaucoup pas pour ses cow-boys.
J’étais en admiration devant ces « Indiens » qu’on chassait de leur terre, qu’on condamnait avant même de les connaître et surtout qu’on méprisait pour une culture qu’on ne connaissait pas. Ici au moins, j’ai eu mon comptant de mise en avant de cette culture si riche et si « bonne » envers la nature, Mère Grande comme diraient Gregory et Aya.
En vente par là :
Les éditions du 38
Quand Lorenza Beaumont, reporter de guerre, rencontre Grégory Nashoba, homme d’affaires et expert mondial en Canis Lupus, elle ne se doute pas que sa vie va basculer. Elle découvre la personnalité fascinante de Grégory, dernier descendant d’une puissante lignée amérindienne, au cœur d’une mystérieuse légende.
Un attentat à la bombe décime la famille de Greg et le blesse très grièvement. À sa sortie de l’hôpital, il n’aura qu’une obsession, retrouver les responsables de ce drame.
La journaliste restera à ses côtés et, de Paris en Afghanistan, des hauts plateaux éthiopiens jusqu’aux États-Unis, ils vont traquer ensemble les meurtriers, aidés par leur ami Pierre Bonnefeu, divisionnaire de Police. Entre trafic d’armes et de stupéfiants, mettant leur vie en jeu face à des tueurs avides et sanguinaires, ils affronteront le pire de l’âme humaine.
Les assassins n’auraient jamais dû s’en prendre à la famille de Grégory, car ils ont réveillé le Gardien de la Terre des Loups, un fauve qui ne connaît ni pitié, ni pardon.
Mon avis :
J’ai eu la chance de lire ce titre pour la deuxième fois. Il est paru auparavant sous le titre « Il ne fallait pas faire pleurer le loup » et dont j’avais donné mon avis ici.
Le décor est planté dès le début avec notre héroïne au fort tempérament. Elle ne se laisse pas marcher sur les pieds et va toujours au bout de ce qu’elle entreprend. Jusqu’à sa rencontre avec notre héros, Lorenza fait passer sa carrière avant tout. Mais les choses sont faites pour être changé et Lorenza va l’apprendre, mais à quel prix.
Gregory, homme aussi mystérieux que charmant va faire découvrir bien des facettes de sa personnalité à Lorenza, mais une chose est sûr c’est un homme droit dans ses bottes et un Pawnee dans toutes ses fibres. Un homme auquel on ne doit pas prendre sa famille et ceux qu’il aime sinon garde aux foudres que l’on pourrait s’attirer.
Comme d’habitude, nous avons des personnages hauts en couleur et les « rôles » secondaires ne sont pas en reste. Il y a bien sûr Pierre Bonnefeu, mais aussi Serge, Aya, et la fille de Grégory.
Comme d’habitude, nous sommes embarqués au plus profonds des territoires.
Comme d’habitude, nous voyons du pays avec un livre de Gilles Mil-Vacéri.
Comme d’habitude, je me suis laissé emporter par ce récit.
Mais contrairement à d’habitude et surtout avec ce titre que j’ai lu en deux versions, on sent la maturité de l’écriture. Je l’avais déjà senti dans « les moissons perdues », mais je voulais une confirmation avant d’en parler. Ici on a une écriture beaucoup plus aboutie, des sentiments encore plus exacerbés, des situations plus approfondies et surtout un remaniement complet de ce texte même si le fond reste le même.
Vous l’aurez compris j’ai été conquise par ce nouveau roman, d’autant plus que j’ai toujours aimé les westerns, mais contrairement à beaucoup pas pour ses cow-boys.
J’étais en admiration devant ces « Indiens » qu’on chassait de leur terre, qu’on condamnait avant même de les connaître et surtout qu’on méprisait pour une culture qu’on ne connaissait pas. Ici au moins, j’ai eu mon comptant de mise en avant de cette culture si riche et si « bonne » envers la nature, Mère Grande comme diraient Gregory et Aya.
En vente par là :
Les éditions du 38