Résumé :
1876
Sous le soleil ardent de Provence, les larmes d’Eugénie ont un goût amer. Un goût de solitude et de désespoir. Son père vient de mourir, l’abandonnant seule à son sort avec de terribles dettes. Désormais, elle n’a plus le choix : pour survivre, elle va devoir vendre le magnifique domaine Gustavin et le château de ses ancêtres. Vendre pour se réfugier dans une petite maison du centre-ville d’Aubagne, dernier vestige de la fortune familiale. Oui mais voilà, la maison est occupée. Par un rustre de la pire espèce – un peintre, qui refuse de payer son loyer et de lui laisser le logis. Mais Eugénie n’a pas dit son dernier mot, ça non : le peintre va débarrasser le plancher, de gré ou de force ! Elle a déjà mille et une idées pour le convaincre de partir...
Mon avis :
Pour une fois, je suis partie en France et au siècle dernier (enfin un peu plus ;) ).
J’ai adoré suivre Eugénie qui coûte que coûte veut préserver le peu qu’il lui reste de la richesse familiale. Les dettes seront épongées après la vente du domaine. Seule cette petite maison lui restera, mais avec un occupant pas décidé à partir ni à payer le loyer (chose qu’il ne fait plus depuis un moment déjà).
C’est une belle découverte même si j’avais préféré un texte un peu plus long afin de mieux cerner Eugénie et Thomas.
J’ai pu malgré tout me laisser séduire par le décor et l’intrigue entre nos deux protagonistes.
Une plume à suivre résolument !!
En vente par là :
http://www.harlequin.fr/livre/7531/hqn/pour-quelques-touches-de-passion
1876
Sous le soleil ardent de Provence, les larmes d’Eugénie ont un goût amer. Un goût de solitude et de désespoir. Son père vient de mourir, l’abandonnant seule à son sort avec de terribles dettes. Désormais, elle n’a plus le choix : pour survivre, elle va devoir vendre le magnifique domaine Gustavin et le château de ses ancêtres. Vendre pour se réfugier dans une petite maison du centre-ville d’Aubagne, dernier vestige de la fortune familiale. Oui mais voilà, la maison est occupée. Par un rustre de la pire espèce – un peintre, qui refuse de payer son loyer et de lui laisser le logis. Mais Eugénie n’a pas dit son dernier mot, ça non : le peintre va débarrasser le plancher, de gré ou de force ! Elle a déjà mille et une idées pour le convaincre de partir...
Mon avis :
Pour une fois, je suis partie en France et au siècle dernier (enfin un peu plus ;) ).
J’ai adoré suivre Eugénie qui coûte que coûte veut préserver le peu qu’il lui reste de la richesse familiale. Les dettes seront épongées après la vente du domaine. Seule cette petite maison lui restera, mais avec un occupant pas décidé à partir ni à payer le loyer (chose qu’il ne fait plus depuis un moment déjà).
C’est une belle découverte même si j’avais préféré un texte un peu plus long afin de mieux cerner Eugénie et Thomas.
J’ai pu malgré tout me laisser séduire par le décor et l’intrigue entre nos deux protagonistes.
Une plume à suivre résolument !!
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