Résumé :
Marie-Élisabeth Plessis de Forge est, en ces premières années du XIXe siècle, une jeune fille aux mœurs peu conventionnelles. Courageuse, intrépide même, elle a navigué à nombreuses reprises avec feu son père. La mer est son élément. À ses qualités de navigatrice s'associent sa dextérité peu commune à l'arme blanche et un penchant très prononcé pour les hommes, même si Marie-Élisabeth aime également les caresses féminines.
Lorsque la jeune fille est violée par son beau-père, sans trouver secours auprès de sa mère, elle s'enfuit et s'embarque sur La Bienveillante, en compagnie d'Adrien, capitaine du navire, son ami et amant. Elle choisit de devenir flibustière et de faire payer à son beau-père les outrages qu'elle a subis tout en sabotant son commerce d'esclaves. Première escale : l'île de la Tortue où elle devient Lisbeth-la-Rouge...
« Plus de Mademoiselle ici, Josépha, on se tutoie et à bord, les hommes m’appellent tous Lisbeth ou capt'aine Lisbeth. Fais-en autant dès à présent. »
Aventures dans les mers du Sud, poursuites, combats... Lisbeth-la-Rouge est un roman haut en couleur. Son personnage principal au caractère trempé séduira par son impétuosité, mais aussi pour sa sensibilité. Tout en étant flibustière puis corsaire, Lisbeth n'en est pas moins femme. Connaîtra-t-elle la paix en son cœur au terme de ses aventures ?
Mon avis :
Me voilà de retour avec un "Gilles Milo-Vaceri", un genre encore inconnu pour moi dans ses œuvres. Je dois dire que je suis assez surprise, car ça reste un roman avec une belle histoire et quelques allusions historiques. Une histoire érotique, mais pas vulgaire comme certains catalogue ce type de nouvelles. Certes on ne nous cache rien, mais c'est tellement bien écrit que ça coule de source, c'est juste beau et plein d'amour...
On va se prendre d'amitié pour cette flibustière qui a souffert de la perte de son père (dont elle était très proche) et du viol commis par son beau père. Il est vrai qu'à l'époque une femme qui vivait sa sexualité comme bon lui semblait était traitée comme une moins que rien, pire qu'une prostituée.
J'ai beaucoup aimé cette femme qui a une force de caractère hors norme et qui malgré l'affront de son beau père va s'en trouver plus forte et plus déterminé à se venger. On devrait toujours se méfier d'une femme "bafouée !!
Dans cette époque, on va voir apparaitre différents protagonistes qui vont "aider" Marie-Élisabeth Plessis de Forge puis la soutenir quand elle va vivre ce qu'elle est : Lisbeth-le-rouge, une femme capitaine de flibustier au milieu d'hommes.
On va découvrir Lisbeth au bras d'hommes et de femmes, car elle ne se limite pas, elle veut tout en amour et ça la rend encore plus humaine. Tout au long du récit on va se demander comment va finir l'histoire et je ne spolierais pas la fin pour que vous alliez le lire.
En vente par ici :
http://www.dominiqueleroy.fr/produit/188/9782866888909/LISBETH-LA-ROUGE
Marie-Élisabeth Plessis de Forge est, en ces premières années du XIXe siècle, une jeune fille aux mœurs peu conventionnelles. Courageuse, intrépide même, elle a navigué à nombreuses reprises avec feu son père. La mer est son élément. À ses qualités de navigatrice s'associent sa dextérité peu commune à l'arme blanche et un penchant très prononcé pour les hommes, même si Marie-Élisabeth aime également les caresses féminines.
Lorsque la jeune fille est violée par son beau-père, sans trouver secours auprès de sa mère, elle s'enfuit et s'embarque sur La Bienveillante, en compagnie d'Adrien, capitaine du navire, son ami et amant. Elle choisit de devenir flibustière et de faire payer à son beau-père les outrages qu'elle a subis tout en sabotant son commerce d'esclaves. Première escale : l'île de la Tortue où elle devient Lisbeth-la-Rouge...
« Plus de Mademoiselle ici, Josépha, on se tutoie et à bord, les hommes m’appellent tous Lisbeth ou capt'aine Lisbeth. Fais-en autant dès à présent. »
Aventures dans les mers du Sud, poursuites, combats... Lisbeth-la-Rouge est un roman haut en couleur. Son personnage principal au caractère trempé séduira par son impétuosité, mais aussi pour sa sensibilité. Tout en étant flibustière puis corsaire, Lisbeth n'en est pas moins femme. Connaîtra-t-elle la paix en son cœur au terme de ses aventures ?
Mon avis :
Me voilà de retour avec un "Gilles Milo-Vaceri", un genre encore inconnu pour moi dans ses œuvres. Je dois dire que je suis assez surprise, car ça reste un roman avec une belle histoire et quelques allusions historiques. Une histoire érotique, mais pas vulgaire comme certains catalogue ce type de nouvelles. Certes on ne nous cache rien, mais c'est tellement bien écrit que ça coule de source, c'est juste beau et plein d'amour...
On va se prendre d'amitié pour cette flibustière qui a souffert de la perte de son père (dont elle était très proche) et du viol commis par son beau père. Il est vrai qu'à l'époque une femme qui vivait sa sexualité comme bon lui semblait était traitée comme une moins que rien, pire qu'une prostituée.
J'ai beaucoup aimé cette femme qui a une force de caractère hors norme et qui malgré l'affront de son beau père va s'en trouver plus forte et plus déterminé à se venger. On devrait toujours se méfier d'une femme "bafouée !!
Dans cette époque, on va voir apparaitre différents protagonistes qui vont "aider" Marie-Élisabeth Plessis de Forge puis la soutenir quand elle va vivre ce qu'elle est : Lisbeth-le-rouge, une femme capitaine de flibustier au milieu d'hommes.
On va découvrir Lisbeth au bras d'hommes et de femmes, car elle ne se limite pas, elle veut tout en amour et ça la rend encore plus humaine. Tout au long du récit on va se demander comment va finir l'histoire et je ne spolierais pas la fin pour que vous alliez le lire.
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