Résumé :
Le masque de fer sera-t-il assez solide pour résister à la brûlure de ses baisers ?
Quelle pire punition pour une jeune femme gourmande et avide de plaisirs charnels que d’être enfermée pour le restant de sa vie dans un couvent ? Pour Isabella Bailly de Bransart, le châtiment que son père lui inflige est d’une cruauté sans nom. Soit, le comte l’a surprise dans une position très compromettante avec Hubert de Sailly, son cousin, et Augustin, le jeune palefrenier. La belle affaire ! Ne dit-on pas qu’il faut favoriser les échanges entre les nobles et le petit peuple ? Heureusement, dès son arrivée au Carmel Saint-Joseph de Vaugirard, Isabella a la bonne surprise de découvrir que la jeune femme qui partage sa cellule n’est autre que la fille de Mme de Maintenon, et que celle-ci pourrait bien lui permettre de s’échapper de cet enfer monacal. A condition, cependant, qu’elle accepte une mission de la plus haute importance : découvrir l’identité du mystérieux homme au masque de fer que Louis XIV retient prisonnier depuis de longues années…
Mon avis :
Alors me revoici avec le nouveau titre de mon auteur préféré.
Un petit bijou, j’ai adoré ! On y retrouve de l’érotisme, mais aussi une belle histoire de l’Histoire.
J’aime beaucoup cette période de l’Histoire et le masque de fer nous y est raconté d’une nouvelle façon.
Qui sait si ce n’est pas vraiment arrivé ?
Isabelle a tout pour être une femme du monde, mais dans ce monde une femme qui profite de tous les plaisirs doit être mise au couvent. Il ne faut surtout pas choquer les bonnes mœurs, mais en revanche pour les hommes aucun souci.
Les hommes justement c’est un de ses plaisirs et dans un couvent elle croit qu’elle n’en verra plus...
Mais c’était sans compter sur sa destinée. Celle-ci va mettre sur son chemin Émilie, et je dois dire que je ne l’avais pas vue venir elle. Je ne vous en dis pas plus, car c’est une surprise et je ne vous la gâcherais pas...
Émilie c’est justement son passeport pour la liberté.
Suite à une mission très spéciale, elle va retrouver cette liberté et une chose qu’elle ne pensait pas trouver : L’Amour.
Comme toujours avec Gilles Milo-Vacéri ce n’est pas l’histoire qui sert l’érotisme, mais l’érotisme qui se met au service de l’Histoire et l’histoire.
Une fois de plus l’addition de l’Histoire et l’érotisme est une réussite pour notre ami Gilles, mais ce n’est pas une première. (voir luxure à la cour, maisons closes entre autres.)
Comme à chaque fois, l’écriture est fluide, on se laisse emporter par l’histoire et les personnages. L’intrigue y est aussi pour quelque chose puisqu’on aimerait toujours connaître la suite. Donc impossible de lâcher ce texte sauf pour des impondérables...
Les personnages sont très riches, ce qui fait que nous nous y attachons rapidement et l’on s’identifie très bien à eux.
En vente par là :
La libertine et le prisonnier
Le masque de fer sera-t-il assez solide pour résister à la brûlure de ses baisers ?
Quelle pire punition pour une jeune femme gourmande et avide de plaisirs charnels que d’être enfermée pour le restant de sa vie dans un couvent ? Pour Isabella Bailly de Bransart, le châtiment que son père lui inflige est d’une cruauté sans nom. Soit, le comte l’a surprise dans une position très compromettante avec Hubert de Sailly, son cousin, et Augustin, le jeune palefrenier. La belle affaire ! Ne dit-on pas qu’il faut favoriser les échanges entre les nobles et le petit peuple ? Heureusement, dès son arrivée au Carmel Saint-Joseph de Vaugirard, Isabella a la bonne surprise de découvrir que la jeune femme qui partage sa cellule n’est autre que la fille de Mme de Maintenon, et que celle-ci pourrait bien lui permettre de s’échapper de cet enfer monacal. A condition, cependant, qu’elle accepte une mission de la plus haute importance : découvrir l’identité du mystérieux homme au masque de fer que Louis XIV retient prisonnier depuis de longues années…
Mon avis :
Alors me revoici avec le nouveau titre de mon auteur préféré.
Un petit bijou, j’ai adoré ! On y retrouve de l’érotisme, mais aussi une belle histoire de l’Histoire.
J’aime beaucoup cette période de l’Histoire et le masque de fer nous y est raconté d’une nouvelle façon.
Qui sait si ce n’est pas vraiment arrivé ?
Isabelle a tout pour être une femme du monde, mais dans ce monde une femme qui profite de tous les plaisirs doit être mise au couvent. Il ne faut surtout pas choquer les bonnes mœurs, mais en revanche pour les hommes aucun souci.
Les hommes justement c’est un de ses plaisirs et dans un couvent elle croit qu’elle n’en verra plus...
Mais c’était sans compter sur sa destinée. Celle-ci va mettre sur son chemin Émilie, et je dois dire que je ne l’avais pas vue venir elle. Je ne vous en dis pas plus, car c’est une surprise et je ne vous la gâcherais pas...
Émilie c’est justement son passeport pour la liberté.
Suite à une mission très spéciale, elle va retrouver cette liberté et une chose qu’elle ne pensait pas trouver : L’Amour.
Comme toujours avec Gilles Milo-Vacéri ce n’est pas l’histoire qui sert l’érotisme, mais l’érotisme qui se met au service de l’Histoire et l’histoire.
Une fois de plus l’addition de l’Histoire et l’érotisme est une réussite pour notre ami Gilles, mais ce n’est pas une première. (voir luxure à la cour, maisons closes entre autres.)
Comme à chaque fois, l’écriture est fluide, on se laisse emporter par l’histoire et les personnages. L’intrigue y est aussi pour quelque chose puisqu’on aimerait toujours connaître la suite. Donc impossible de lâcher ce texte sauf pour des impondérables...
Les personnages sont très riches, ce qui fait que nous nous y attachons rapidement et l’on s’identifie très bien à eux.
En vente par là :
La libertine et le prisonnier